Message de condoléances du Guide suprême à l’occasion de la disparition de Habibollah Asgar-Oladi (08/11/2013)

Ce qui suit est le texte intégral du message présenté le 5 novembre 2013, par l'Ayatollah Khamenei, Guide suprême de la Révolution islamique, suite à la disparition de Habibollah Asgar-Oladi.

Au nom d'Allah le Très Miséricordieux, le Tout Miséricordieux

C'est avec beaucoup de tristesse et de regret que J'ai appris la nouvelle de la disparition de M. Hâjj Habibollah Asgar-Oladi, ce moudjahid sincère et fidèle compagnon de notre défunt Imam Khomeiny.Cet infatigable combattant a passé toute sa vie au service de l'islam et a contribué à la formation et à l'instauration du gouvernement islamique.
Depuis sa jeunesse jusqu'aux dernières années de sa vie, ses efforts et son djihad n'ont jamais cessé dans cette voie. A l'époque du Taghout et dès les premiers jours des activités révolutionnaires de notre peuple et des religieux, il était présent aux côtés de notre magnanime Imam sur les fronts dangereux. Il a patiemment enduré de longues et pénibles années d'emprisonnement et après la victoire de la Révolution et l'instauration de la République islamique, il a rendu de grands services dans les domaines sensibles et importants, et a poursuivi ses efforts jusqu'à la fin de sa vie.
Je demande à Dieu de lui accorder Sa miséricorde et Ses bénédictions, et je présente mes condoléances à sa famille et ses amis.

Sayed Ali Khamenei
Le 5 novembre 2013

Habibollah Asgar-Oladi, membre du Conseil de discernement et secrétaire général du Parti des partisans de l'Imam et du leader, est décédé à l'âge de 81 ans. Asgar-Oladi était hospitalisé depuis deux mois et demi pour des problèmes cardio-vasculaires.
Asgar-Oladi, ancien opposant au régime Pahlavi, fut membre du premier Parlement de la République islamique, puis ministre du commerce sous trois mandats différents. Il se présenta comme candidat à la Présidence aux élections de 1981 et de 1985, et devint plus tard, membre du Conseil de discernement des intérêts du régime islamique.